Quizz

Ça y-est le quizz est en ligne !

A gagner une journée de location gratuite de deux vélos électriques, offerte par notre partenaire La bicyclette électrique, localisé à Paris.

N'importe qui peut participer, néanmoins seules les réponses des votants salariés du groupe France Telecom Orange seront prises en compte pour l'obtention du prix. Important, les salariés doivent rentrer leur nom et entité du groupe dans le champ "what is your name" (ex: Lamer RD/CORE/NAS).

Un tirage au sort aura lieu entre les 30 premiers à obtenir 100 % de réponses correctes, si toutefois il y en a :-).

Enfin, dès le premier jour de régate, à savoir le vendredi 25 juin, les réponses seront associées à quelques explications, afin de parfaire vos connaissances dans le domaine de l'écologie et du milieu marin.

Bonne chance à tous !

http://www.quizyourfriends.com/take-quiz.php?id=1006140658296058&a=1&


Posté le 01 juillet 2010

Voici les commentaires de chaque question du quizz, en espérant qu'il vous aura appris des choses sur le développement durable et le milieu marin. Comme vous avez pu le voir certaines réponses sont choquantes, preuve que l'homme prête bien peu d'attention à son berceau et l'élément de base de sa survie ...

1/ Combien de temps met en moyenne un sac plastique pour se décomposer ?

a/ moins de 5 ans
b/ 10 à 50 ans
c/ plus de 100 ans

entre 100 et 400 ans, suivant leur composition.

2/ Pour une tortue marine, à quel type d’organisme le sac plastique ressemble t-il ?

a/ une méduse
b/ une raie
c/ une algue

Dans le monde, toutes les tortues marines restent menacées, la tortue luth étant en danger critique d'extinction.
La plus grande menace actuelle est la pêche accidentelle au palangrier ou au chaluts, notamment lors de la pêche au thon. Il est estimé que 40 000 tortues meurent chaque année de la pêche au palangrier.

D'autres dangers sont les déchets marins flottants tels que des filets de pêches abandonnés dans lesquels elles sont piégées et se noient ou les sacs plastique qu'elles prennent pour des méduses (une de leur proie) et qui leur provoquent des occlusions digestives occasionnant souvent la mort.

3/ Qu’est ce qui favorise la multiplication d'algue verte dans la mer ?

a/ le poisson
b/ le cochon
c/ le chien

Depuis une trentaine d’années certains littoraux, en particulier en Bretagne, souffrent de proliférations massives et saisonnières d’algues vertes. Appelées laitues de mer (Ulva armoricana et Ulva rotundata), elles se développent et s’accumulent dans les eaux jusqu'à créer de véritables marées vertes qui se déposent en tas verdâtres sur les plages vers juin-juillet. Avec leur décomposition, un gaz nauséabond, l’hydrogène sulfuré (H2S).

Avec 50.000 tonnes d’algues qui se déposent tous les ans, l’addition est salée pour les collectivités bretonnes. Selon l’association Eau et Rivières de Bretagne, elles ont dépensé un milliard d'euros en 30 ans ! Sans autre effet qu’une amélioration cosmétique et un déplacement du problème, car la mise en décharge de la plus grande partie de cette biomasse aggrave la pollution des nappes phréatiques.

Au-delà de la dégradation du cadre de vie et du coût économique, l’eutrophisation des eaux à d’autres impacts sur l’environnement. Dans l’eau potable, les nitrates peuvent déclencher des cyanoses si leur concentration dépasse une dose seuil. C’est pourquoi la législation française et les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé fixent le chiffre de 50 mg/l.

Dans les eaux douces, ces nitrates (formes d'azote) perturbent les organismes et provoquent la prolifération d’algues et de cyanobactéries, ce qui affecte les populations des écosystèmes et donc leur biodiversité. Lors de leur décomposition, ces algues peuvent priver les eaux de leur oxygène, avec des conséquences dramatiques pour la faune. Enfin, lorsque les algues qui prolifèrent sont toxiques, ce sont la flore, la faune, les exploitations aquacoles et parfois l’homme qui sont empoisonnés.

Ça sent le soufre…

Plus grave, depuis les drames de l’été 2009 ( mort d'un cheval en juillet et l'évanouissement de son cavalier, le décès d'un ouvrier, qui venait de manipuler des caisses d'algues en décomposition), la toxicité des émanations des algues en décomposition a été reconnue par le rapport de l’Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques) sur la question. Les marées vertes deviennent donc un enjeu sanitaire pour les collectivités et pour l’Etat, responsables de la sécurité des citoyens. Or qui dit responsabilité, dit enjeu juridique.

Après avoir été condamné en 2001 par le tribunal administratif de Rennes, suite à la plainte de la Lyonnaise des Eaux, en 2002 par la Cour de justice européenne et en 2007 après les plaintes d’associations, l’Etat reconnaît sa responsabilité, d’abord officieusement dans un rapport confidentiel du préfet des Côtes d’Armor (octobre 2009) puis officiellement en abandonnant son recours juridique le 3 novembre suivant.

Mais d’où viennent ces nutriments plus si limitants que ça ? Une petite fraction, naturelle, vient du lessivage du continent par les pluies hivernales et printanières. C’est elle qui provoque les efflorescences algales printanières normales, d’ampleur limitée par rapport aux marées vertes. L’essentiel de ces nutriments, en particulier l’azote, provient des eaux usées urbaines et domestiques mal retraitées et, principalement, de l’agriculture.

L’agriculture victime de son succès

Il faut savoir que la Bretagne, grâce à l’agriculture intensive, abrite sur son sol 60% des élevages de porcs de France et 45% de ceux de volailles. Une telle concentration implique nécessairement la production d’une grande quantité d’effluents azotés (lisier). Pourquoi un tel système ? Parce qu’au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, la France n’était pas autosuffisante et souffrait de disettes. Une véritable révolution agricole, à l’échelon national et européen (la Politique Agricole Commune), a corrigé cela. Grâce au productivisme et à la spécialisation des territoires, le rendement d’un hectare est passé de 15 quintaux de blé en 1950 à 65 en 2000.
Le machinisme, les engrais ou encore l'élevage hors sol ont considérablement augmenter la production agricole.

Hélas, cette machine de guerre agricole fonctionne trop bien. Après avoir dépassé ses objectifs (apparition de la surproduction dans les années 1970 et 1980), elle révèle son coût caché : la dégradation de l’environnement, comme c’est le cas en Bretagne. Depuis, la PAC s’efforce de corriger le tir mais l’inertie du système est énorme et les algues vertes sont là pour le rappeler.

4/ Quelle trace de métal peut-on trouver dans un poisson ?

a/ le platine
b/ le mercure
c/ le cuivre

Le poisson, comme la viande, constitue notre principale source de fer mais pas seulement…parce qu’il y a du mercure dans le poisson ! Il y en a partout. Une partie de ce métal présent dans l’écorce terrestre est expulsée naturellement dans l’atmosphère par les volcans. On en trouve aussi dans les thermomètres, les résidus miniers, les tubes fluorescents, les vaccins contre la grippe, les amalgames dentaires, les interrupteurs électriques et les chaussures à semelles clignotantes qui font la joie des enfants. Tout ce mercure finit dans les dépotoirs et les égouts, puis dans le réseau d’approvisionnement en eau.

Les usines au charbon et les incinérateurs de déchets comptent parmi les pires pollueurs. Le mercure tombe dans les océans, les lacs et les rivières à la faveur des pluies. Des bactéries le transforment alors en méthylmercure, une toxine facilement assimilable. Il s’accumule dans les tissus des oiseaux aquatiques, des mammifères marins et des poissons. Plus l’animal a vécu longtemps et plus il se trouve haut dans la chaîne alimentaire, plus il en contient. Les grands prédateurs adultes arrivent ainsi largement en tête du palmarès mercuriel.

Les scientifiques savent depuis longtemps que la consommation de poisson représente la principale source d’intoxication au méthylmercure chez l’homme. A fortes doses, cette neurotoxine peut provoquer un nombre impressionnant de problèmes: anomalies congénitales; dommages cérébraux et rénaux; dégradation de la vision; difficultés pour marcher ou parler; persistance d’un goût métallique dans la bouche; picotements dans les mains et les pieds.

5/ Quelle est la superficie de la garbage patch du Pacifique Nord ? (d'après Greenpeace)

a/ environ 200 km2
b/environ 5000 km2
c/ environ 30000 km2
d/ environ 700000 km2

Une plaque de déchets sur le Pacifique

En 1997, la "poubelle de l'est du Pacifique" (Eastern Garbage Patch) était découverte par le capitaine Charles Moore.

En novembre 2006, Greenpeace découvrait encore, lors d'une expédition dans le Pacifique entre Hawaii et la Californie, une plaque de déchets d'un peu plus 600 000 km2 et de plusieurs millions de tonnes, formant une île plus grande que la France (ou l'équivalent du Texas) juste à proximité de la plus grande réserve marine au monde.

" Les débris marins les plus courants sont constitués de matières plastiques et synthétiques, qui ont des effets désastreux sur la faune marine et les oiseaux de mer. Au moins 267 espèces différentes ont souffert d'enchevêtrement ou d'ingestion de débris marins, parmi lesquelles, des oiseaux de mer, tortues marines, phoques, otaries, baleines et poissons ", note Greenpeace dans un rapport intitulé " Débris plastiques et pollution des Océans ".

L'océan Atlantique a lui aussi sa poubelle géante

Depuis plus de 20 ans, les océanographes employés par la Sea Education Association (SEA) , une organisation non gouvernementale américaine spécialisée dans la formation des étudiants, ont effectué à bord de leur bateau de recherche plus de 6 150 prélèvements pour mesurer l'abondance des débris marins dans l'Atlantique de la Nouvelle Ecosse aux îles des Caraïbes. Et 64 000 fragments ont été repêchés !

L'organisation a ainsi dévoilé, lors d'un congrès à Portland (Oregon) fin février 2010, l'existence d'un vaste " continent " de déchets plastiques dans les eaux de l'Atlantique. Cette décharge flottante est située à environ 1 000 km des côtes américaines, à l'est de la Floride et sous les Bermudes. Son centre se trouve à la latitude d'Atlanta. Les déchets s'accumulent à cet endroit car c'est une zone de hautes pressions, où les vents sont faibles et où les courants tournent en rond dans le sens d'une aiguille d'une montre.

Source: http://www.bioaddict.fr/, http://www.greenpeace.org/international/campaigns/oceans/pollution/trash-vortex/

6/ Quelle pourrait-être la (l’une des) cause(s) du Dryast récent ?

a/ une modification des courants de l'Atlantique
b/ une augmentation de l’activité volcanique
c/ un recul de certains glaciers

Le Dryas récent, ou Dryas III, est un bref et important refroidissement durant environ 1 300 ans, il y 12600 ans.

Le Gulf Stream est un courant d'eau chaude bien connu qui baigne nos côtes et serait à l'origine de notre climat si tempéré.

Cela fait plusieurs années que des études climatiques sont menées sur ce courant dans le cadre du réchauffement de la planète. Celui-ci fait fondre rapidement les glaces d'eau douce du Groenland et dans le même temps augmente les quantités de pluie sur l'Atlantique Nord par évaporation plus importante. Les eaux douces (non salées) étant moins denses que l'eau salée, il en résulte que la surface de l'Atlantique nord pourrait être noyé sous les eaux douces et faire plonger le Gulf Stream plus en profondeur, le ralentissant voir l'arrêtant complètement.

La rapidité d'un tel ralentissement n'est pas garanti et encore moins le refroidissement de tout l'hémisphère nord. Mais dans le cadre d'un ralentissement de Gulf Stream, les experts prévoient une importante baisse des températures sur l'Europe de l'ouest qui ne bénéficierait plus de la douceur du courant. Ils se basent notamment sur un fait survenu il y 12600 ans appelé le Dryas récent. La libération brutale d'un lac d'eau douce depuis le Canada dans l'Atlantique Nord aurait arrêté soudainement la circulation du Gulf Stream. En moins de 80 ans, le climat devint glacial sur toute l'Europe de l'ouest avec par de la glace qui s'étendait en hiver jusqu'aux côtes du Portugal et mit 1000 ans à se terminer. Cela aurait évidemment des conséquences sur toute la planète d'autant plus que sa mise en place pourrait être assez rapide.

On constate un ralentissement du courant d'environ 20% depuis le début des années 1990 et le réchauffement prévu par les expertes du GIEC en février 2007 ne sont guère optimistes pour les glaces du Groenland.

7/ Qu'entraine la fonte du pergélisol, liée au réchauffement climatique ?

a/ une libération de méthane
b/ une sécheresse
c/ des séismes

Il y a beaucoup de bulles dans la mer de Laptev, à l’Est de la Sibérie, et ce n’est pas de très bon augure. Une équipe internationale (Russie, Etats-Unis, Suède) a mesuré la teneur en méthane, le gaz naturel, au fond de la mer en en surface (1). L’eau contient de grandes quantités de ce puissant gaz à effet de serre, qui pourrait accélérer le réchauffement climatique.

Comme dans les sols gelés (pergélisol) des régions boréales, les sédiments sous-marins gelés de l’océan Arctique contiennent de grandes quantités de méthane. Dans la mer de Leptev et la partie russe de la mer de Chuckchi, ces sols de toundra gelés ont été recouvert par les eaux il y a 7 à 15000 ans. Jusqu’à présent, les chercheurs pensaient que le gaz était piégé dans ces sols gelés sous-marins. Mais plusieurs campagnes de mesure de 2003 à 2008 montrent qu’il n’en est rien. Le méthane s’échappe et se dissout dans l’eau: sur 80% des points de mesure l’eau en fond d’océan était saturée de ce gaz, avec jusqu’à cent fois la teneur observée dans l’eau de mer ailleurs dans le monde. Un constat relevé aussi sur la moitié des analyses d’eau en surface. Une série de mesures aériennes, par hélicoptère, ont confirmé que ce gaz s’échappe dans l’atmosphère: Au dessus de la mer de Laptev, l’air contient quatre fois plus de méthane qu’au dessus des autres régions arctiques. La région recracherait à elle seule autant de gaz naturel que l’ensemble des océans de la planète.

La concentration de méthane a doublé dans l’atmosphère, depuis l’ère pré-industrielle. La moitié du méthane émis est lié aux activités humaines (élevage, fuites, mines de charbon, etc.) et l’autre provient de sources naturelles. Et la fonte des sols gelés sous l’effet du réchauffement climatique libère le gaz formé par la décomposition de matière organique à l’abri de l’air, qui en principe est piégé dans les sols.

Contrairement aux pergélisols de surface, exposés à de rudes température en hiver et qui dégèlent doucement, la fonte des pergélisol sous-marins est un phénomène qui peut-être beaucoup plus rapide, car il ne subissent plus de fort refroidissement en hiver. La situation inquiète d’autant plus les chercheurs, que l’océan est peu profond: dans les régions à grande profondeur, le méthane qui remonte des fonds a le temps d’être transformé en gaz carbonique par des réactions chimiques. Un gaz qui, à volume égal, produit 25 fois moins d’effet de serre que le méthane. Mais dans la mer de Laptev, dont la profondeur dépasse rarement 20 mètres, le méthane s’échappe directement dans l’atmosphère. La région étudiée par les chercheurs représente trois fois la surface de sols gelés en Sibérie! De quoi provoquer une libération massive de méthane dont personne ne peut prévoir l’ampleur et les conséquences.

Source: http://mondedurable.science-et-vie.com/2010/03/une-fuite-de-gaz-geante-au-bord-de-la-siberie/

8/ Vous avez mis 10 min à remplir ce questionnaire, quelle surface de forêt a disparu du globe, du fait de la déforestation ? (d'après Greenpeace)

a/ l'équivalent de 10 piscines olympiques
b/ l'équivalent de 50 terrains de tennis
c/ l'équivalent de 300 terrains de foot

Le problème numéro un, c'est la déforestation. En l'espace d'une seconde, ce sont des pans entiers de forêts qui disparaissent de la surface du globe, en particulier en Amazonie, dans le bassin du Congo et en Asie du Sud-Est. Cette déforestation a des conséquences planétaires : l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, la disparition d'écosystèmes forestiers, la destruction du cadre de vie de centaines de millions de personnes.

20% des émissions de gaz à effet de serre

La déforestation est une des causes majeures du changement climatique. Pour deux raisons. D'une part, parce que moins de forêts, c'est moins de CO2 absorbé et piégé par ces écosystèmes, donc plus de CO2 dans l'atmosphère. D'autre part, parce qu'en coupant des arbres, l'industrie forestière libère le CO2 emmagasiné par ces arbres. Au final, 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont dues à la déforestation. C'est plus que l'ensemble du secteur des transports !

Une atteinte à la biodiversité

Non seulement la déforestation participe au réchauffement climatique, mais elle met également en péril la biodiversité animale et végétale. Les forêts concentrent en effet l'essentiel de cette biodiversité : la moitié des espèces terrestres de notre globe vivent dans les forêts tropicales. En détruisant leur milieu naturel, la déforestation les condamne à mort. On estime que le rythme actuel de disparition des espèces est mille fois supérieur à son niveau naturel. A terme, cette éradication du vivant menace l'humanité même.

Des populations locales sacrifiées

En Amazonie, dans le bassin du Congo, en Asie du Sud-Est, les populations locales sont expulsées de leurs terres et voient leur cadre de vie détruit et pollué. Les industriels du bois et de l'agro-alimentaire prétendent créer emplois et richesses. Mais les conditions de travail dans les exploitations forestières sont déplorables. L'argent ne va ni aux salariés, ni aux collectivités locales, mais aux chefs d'entreprise et à quelques individus corrompus.

Le dangereux commerce du bois

Les consommateurs font vivre ce marché du bois au mépris de l'environnement. Notre goût pour les bois exotiques, notre désintérêt pour l'origine des produits que nous achetons contribuent au pillage des forêts. Les prix du bois n'intègrent malheureusement pas les coûts écologiques et sociaux de la déforestation. La législation est insuffisante ou bafouée. Tant que le bois « illégal » et « non-durable » trouvera des débouchés économiques, en particulier en Europe, les forêts tropicales et boréales seront menacées de disparition.

Un agro-business peu scrupuleux

Le commerce du bois n'est pas seul en cause dans la déforestation. L'agro-business déboise à tout va et transforme les zones forestières en terres agricoles. En Indonésie, c'est pour produire l'huile de palme que nous retrouvons dans nos produits de tous les jours. Au Brésil, c'est pour développer l'élevage bovin. Souvent, c'est pour cultiver le soja ou la canne à sucre qui serviront à fabriquer les agro-carburants. Dans tous les cas, la forêt est sacrifiée aux intérêts financiers à court-terme

Source: http://www.greenpeace.org/france/campagnes/forets/problemes

9/ Quelle est la production annuelle par un panneau solaire de 100 Watt crête bien orienté dans le Sud de la France ?

a/ 50 KWh
b/ 100 KWh
c/ 200 KWh
c/ 300 KWh

réponse à compléter

10/ Quelle est l'énergie libérée par la combustion de 40 litres d'essence (l'équivalent du plein d'une citadine) ?

a/ 50 KWh
b/ 100 KWh
c/ 200 KWh
d/ 300 KWh

réponse à compléter

1 commentaire:

  1. le nom du gagnant de notre Quizz : bravo à Monsieur Malzac de Orange GMI/COM ! contactez Bastien ou Ludo à Issy les Moulineaux!

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